- Amélioration du bien-être :
Depuis 2020 et dans un contexte particulièrement anxiogène, le sport apparaît comme une fenêtre de bien-être :
- Pour 9 Français sur 10, le sport fait du bien au moral et assure le bien-être
- Pour 63%, le sport est une véritable source de plaisir
- Pour 60%, le sport est une soupape de décompression et permet de faire une coupure entre vie pro/perso (notamment en télétravail ou en confinement).
- Sport & RSE, main dans la main :
Adresser les sujets liés à au stress ou au mal-être en développant l’axe social de la RSE est aujourd’hui prioritaire !
Le saviez-vous ?
En France, l’obligation, pour l’employeur, de veiller à la santé des salariés est d’ailleurs inscrite dans le Code du travail. En quoi cela participe-t-il favorablement au bien-être.
Amélioration de la santé : Faire du sport en groupe améliore la santé mentale, physique et émotionnelle. Selon une étude menée sur des étudiants ayant pratiqué une activité sportive en groupe pendant trois mois, une baisse de 26 % de leur stress perçu a été relevé. Une autre étude montre même un allongement de l'espérance de vie de trois ans.
Augmentation de la motivation : la pratique du sport permet une baisse du taux d’absentéisme de 30 à 40% et jusqu’à 12% de gain de productivité pour le salarié.
Vecteur de bien-être : le sport favorise le sentiment d’appartenance à l’entreprise selon 80% des dirigeants et permettrait d’atteindre un taux de turnover 25% moins élevé que la moyenne.
Socle de la cohésion sociale : 64% des salariés estiment que la RSE améliore la qualité des relations de travail et que cela développe le sens du collectif. Le sport particulièrement : 87% des dirigeants affirment qu’il facilite l’intégration dans l’entreprise et 85% que cela renforce l’esprit d’équipe.
- Le Sport : poussé par l’Etat français :
Le Ministère des Sports conseille fortement de rompre les temps de sédentarité par des pauses d’au moins une minute toutes les heures ou de 5 à 10 minutes toutes les 90 minutes.
Pendant ces temps de pauses, il recommande de se mettre debout et de pratiquer une activité physique de faible intensité comme se lever pour ranger son linge ou marcher lentement vers une autre pièce de son domicile.
Le Code du Travail indique que “l’employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.” Ces mesures comprennent des actions de prévention des risques professionnels, des actions d’information et de formation ainsi que la mise en place d’une organisation et de moyen adaptés. L’employeur doit donc veiller à l’adaptation de ces mesures pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à l’amélioration des situations existantes.
Prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS), diminution des arrêts de travail, baisse du stress pour le salarié, renforcement de l'esprit d'équipe et amélioration du climat social, hausse de la productivité et meilleure attention : les avantages de la pratique du sport en entreprise ne sont plus à démontrer !
- L’activité physique sur le cerveau et les performances :
En quelques mots, le sport augmente la plasticité cérébrale, renforce les connexions synaptiques, développe la neurogenèse et améliore le métabolisme du cerveau ainsi que la fonction vasculaire cérébrale. Faire du sport prévient également la dégénérescence neurologique.
En effet, en protégeant de certains risques périphériques de santé (hypertension, sensibilité à l’insuline, etc.), l’activité physique permet de préserver les fonctions cérébrales.
Si le sport a un effet plutôt positif sur la santé du cerveau, il permet également – sous certaines conditions – d’améliorer les apprentissages. Ainsi, lorsqu’on est en bonne forme au niveau cardiovasculaire, la mémoire et la cognition sont favorisées. Ceci semble associé au fait que certaines parties du cerveau se développent en même temps que la condition physique chez les enfants et les adultes.
Cet effet de l’activité physique sur la mémoire ne se produit pas qu’à moyen et long-terme, mais peut aussi être ponctuel. Des chercheurs allemands ont en effet montré que l’activité physique pendant l’apprentissage aide à mémoriser. Pour que cela fonctionne, il faut néanmoins que l’exercice soit modéré : de la marche ou du vélo, par exemple. Le traitement de l’information est d’ailleurs globalement meilleur pendant une activité physique modérée qu’au repos.
- Le mal-être en entreprise à un coût :
Le bien-être des collaborateurs est un enjeu social de taille pour garantir la pérennité et la performance des entreprises. Or, une mauvaise qualité de vie au travail coûte en moyenne 13 500€ par an et par salarié (en coûts directs et indirects).
Le grand mal du siècle en chiffres : le mal-être au boulot
- 230 milliards d’euros : le coût global du mal-être au travail par an.
- 14 580€ : le coût moyen du mal-être au travail par salarié en 2019 dont : 9 185€ de maitrisables par des actions QVT
- Augmentation de : +9,3% du cout du mal-être entre 2018 et 2019.
L’absentéisme : un gouffre financier
- 108 milliards € : le coût de l’absentéisme par an
- 4 059€ : le coût de l’absentéisme au travail par salarié
- Les 10 bonnes raisons d'intégrer une solution sport-santé dans vos locaux :
- Les employés qui font du sport tombent moins souvent malade
- Les employés qui font du sport ont plus d’énergie
- Les employés qui font du sport ont davantage confiance en eux
- Les employés qui font du sport inspirent davantage confiance
- Les employés qui font du sport développent plus facilement leur leadership
- Les employés qui font du sport se fixent des objectifs et les atteignent
- Les employés qui font du sport sont moins stressés
- Les employés qui font du sport sont plus ouverts au team building
- Encourager le sport en entreprise démontre à vos salariés votre préoccupation de leur bien-être au travail